Focus sur trois événements :

  • ‘Belle, au bois dormant de larmes écarlate(s)’ au Dansoir – Ouistreham.
  • Avec G&C SNCF, ‘Ludwig ad L.’ de Karine Saporta, exposition géante en Gare de Trouville Deauville d’août à fin octobre.
  • « DEAMBULE », Exposition clôture de résidence de Jill Guillais, artiste Plasticienne en résidence à LA MUE Karine Saporta.

‘Belle, au bois dormant de
larmes écarlate(s)’

Représentations au Dansoir

Vendredi 10 août 2018 – 20h30
Samedi 11 août 2018 – 20h30

‘Belle, au bois dormant de larmes écarlate(s)’ au Dansoir Karine Saporta à Ouistreham tous les week-end du mois d’août.

Présenté dans le monde entier sur les scènes les plus prestigieuses (Théâtre National de Chaillot, théâtre

ariinsky, Festival de Rambouillet, Opéra de Vichy, Maison de la Danse de Lyon), le spectacle a reçu les plus élogieuses critiques.

DANSER TELERAMA
Depuis Bettelheim, on sait que les contes sont des affaires sérieuses. La «Belle au bois dormant» de Karine Saporta n’échappe donc pas à la loi. Il y est question du génie de la danse… Là est le coeur de la rencontre avec le conte, son véritable mobile.’  D. Conrod

LE MONDE
‘LA PERFECTION MÊME’

‘ C’est Oleg Petrov, directeur de la compagnie d’Ekaterinburg, mais aussi historien et critique, qui a passé commande à Karine Saporta dont il est un admirateur :   » L’essentiel est le mouvement créé par sa pensée. Il est pour moi la perfection même parce qu’il continue la grande tradition classique sans pour autant fuir le monde actuel … « 

« Elle a fermé les écoutilles » comme le chante Alain Bashung.’  
Dominique Frétard

 

Vendredi 10 août – 11hEn coulisses…

Ouverture des coulisses du Dansoir si vous désirez assister aux répétitions-raccords du spectacle ‘ Belle, au bois dormant de larmes écarlate(s)’

Du 26 juillet au 31 octobre 2018SNCF GARES & CONNEXIONS

Karine Saporta, photographe

Gare de Deauville – Trouville

Cette exposition « Ludwig ad L. de Bavière » a fait l’objet d’une commande à Karine Saporta de la part de l’institut français de Munich.

‘Agonie et décadence des destinées fussent-elles celles des rois…
Cette série photographique de Karine Saporta met en scène des personnages sortis tout droit de son imaginaire. L’on sent bien sûr la présence d’une Bavière réinventée, réminiscente parfois de la cours de Louis II de Bavière (1845-1886), mécène et figure wagnérienne par excellence. On pense au film majeur de VIsconti   » Ludwig- le crépuscule des dieux  » et au très charismatique Helmut Berger qui fut un des premiers emblèmes de la re-définition du masculin/féminin à l’aube des années 1970, simultanément avec Fassbinder et Bowie. On pense également à Werner Schroder chantre de la décadence opératique.’ Geneviève Heuzé

Dimanche 12 août  de 9h à 13hJill Guillais
Artiste plasticienne

« DÉAMBULE »

9h-13h : exposition clôture de résidence

10h-12h : ATELIER D’ECRITURE avec Charlotte Goupil, médiatrice culturelle.

RÉSIDENCE ARTISTIQUE dans le cadre des Rendez-Vous de LA MUE Karine Saporta