‘Belle, au bois dormant de
larmes écarlate(s)’Représentations au DansoirVendredi 17 août 2018 – 20h30
Dimanche 19 août 2018 – 16h00

LE MONDE
‘LA PERFECTION MÊME’

‘ C’est Oleg Petrov, directeur de la compagnie d’Ekaterinburg, mais aussi historien et critique, qui a passé commande à Karine Saporta dont il est un admirateur :   » L’essentiel est le mouvement créé par sa pensée. Il est pour moi la perfection même parce qu’il continue la grande tradition classique sans pour autant fuir le monde actuel… « 

« Elle a fermé les écoutilles » comme le chante Alain Bashung.’  
Dominique Frétard

Présenté dans le monde entier sur les scènes les plus prestigieuses (Théâtre National de Chaillot, Théâtre Mariinsky à Saint-Petersbourg en Russie, Festival de Rambouillet, Opéra de Vichy, Maison de la Danse de Lyon).

 

Vendredi 17, dimanche 19 août – 11hEn coulisses…

Ouverture des coulisses du Dansoir si vous désirez assister aux répétitions-raccords du spectacle ‘Belle, au bois dormant de larmes écarlate(s)’

Samedi 18 août – 20h30″ENFANCES »

Cie PMVV le grain de sable

« Enfances » est un voyage dans la mémoire et l’enfance à travers la littérature du 19e siècle jusqu’à nos jours. Une ode à la vitalité et à son innocence bousculante face aux routines de la vie. Lecture-spectacle par la Cie PMVV le grain de sable.

Textes de Achim Von Arnim, Simone de Beauvoir, Walter Benjamin, Albert Cohen, Colette, Patrick Drevet, Paul Eluard, Annie Ernaux, Gérard Farasse, Peter Handke, Heinrich Hoffman, Pierre Loti, Colette Nys-Mazure, Jacques Prévert, Marcel Proust, Martine Rassineux, François da Ros, Nathalie Sarraute, Annie Saumon, Anton Tchékhov, Spôjmaï Zariâb…

Conception et interprétation : Philippe Müller et Vincent Vernillat. Choix des textes : Martine Rassineux. Musique de Robert Schumann.

 

ART EN GARESNCF GARES & CONNEXIONS

LUDWIG ad L.

Exposition Karine Saporta
du 26 juillet au 31 octobre 2018

Gare de Deauville – Trouville

Cette exposition « Ludwig ad L. de Bavière » a fait l’objet d’une commande à Karine Saporta de la part de l’institut français de Munich.

‘Agonie et décadence des destinées fussent-elles celles des rois…
Cette série photographique de Karine Saporta met en scène des personnages sortis tout droit de son imaginaire. L’on sent bien sûr la présence d’une Bavière réinventée, réminiscente parfois de la cours de Louis II de Bavière (1845-1886), mécène et figure wagnérienne par excellence. On pense au film majeur de VIsconti   » Ludwig- le crépuscule des dieux  » et au très charismatique Helmut Berger qui fut un des premiers emblèmes de la re-définition du masculin/féminin à l’aube des années 1970, simultanément avec Fassbinder et Bowie. On pense également à Werner Schroder chantre de la décadence opératique.’ Geneviève Heuzé